Exposition du 5 février au 21 mars 2009
Vernissage le 5 février 2009 à 18h00
Finissage le 21 mars de 15h à 19h
du mardi au samedi
de 14h à 19h
et sur rendez-vous
« Sixième sens, enveloppe sonore »
10, rue La Vacquerie
75011 PARIS
Tel : 01 44 64 11 50
Fax : 01 43 73 55 10
Email : galerie@kiron.fr
http://www.kiron.fr/galerie/
Organisée par Kravis - Galerie virtuelle
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mardi 27 janvier 2009
CITY FLASH - MARSEILLE
Nous avons le plaisir de vous accueillir dans notre workshop- galerie pour vernissage et exposition CITY FLASH de l'artiste Olivier Lile , un verre à la main, un petit quelque chose à grignoter, un sourire à vos lèvres, et des petites musiques douces, le tout mixé a la sauce sympa..."
Olivier Lucas
Sabrina Schachter
Alejandro Rodriguez Munevar
Ives Lecarlate
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Olivier Lucas
Sabrina Schachter
Alejandro Rodriguez Munevar
Ives Lecarlate
Heure de début : | jeudi 12 février 2009 à 19:00 |
Heure de fin : | jeudi 12 mars 2009 à 19:50 |
Lieu : | FABRIK89 |
Adresse : | 89, rue Sainte |
Ville : | Marseille, France |
Téléphone : | 0491555829 |
Adresse électronique : |
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Libellés :
"Galerie Fabrik 89",
"Olivier Lile",
art,
artiste
ELEGY - ZOLDER
Een uitstekende verfilming van Philip Roths ‘The dying animal’. Ben Kingsley kruipt in de huid van de vereenzaamde cultuurprofessor en tv-goeroe David Kepesch. Hij begint een relatie met zijn beeldschone Cubaanse studente Consuela (Penelope Cruz). Maar is het mogelijk een mooie vrouw echt te beminnen? Of blijft de fascinatie voor de uiterlijke verpakking altijd in de weg staan, zodat je nooit het innerlijke ziet, tot dat uiterlijk als obstakel verdwijnt? Feit is dat hij zich voor het eerst in zijn leven onzeker voelt en ziekelijk jaloers. Vriend des huizes George (Dennis Hopper) raadt hem dan ook aan zo snel mogelijk een einde te maken aan deze relatie, voor ze zijn hart breekt en er met iemand jonger vandoor gaat…
VS 2007, 108min.
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VS 2007, 108min.
Date : | mercredi 28 janvier 2009 |
Heure : | 20:15 - 23:15 |
Lieu : | CC MUZE |
Adresse : | Dekenstraat 40 |
Ville : | Zolder, Belgium |
Téléphone : | 011808098 |
Adresse électronique : |
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AWAKENED CHANGE - NEWARK
Awakened Change is a group art show/exhibition of forty-four artists’ work running through February 20th, with an opening reception, February 5th at Seed Gallery (239 Washington Street, Newark, NJ 07102 917-607-4440). The artists represented in the show create images and objects that consistently break down time barriers. The works on display for Awakened Change show a future distilled, in what some recognize as a shift in human consciousness.
Throughout all stages of human existence, shifts of collective consciousness have manifested themselves in works of art. Expressions of these changes pinpoint the map of history. Although this exhibition is defined by the recent cultural, economic, and political downturn of the human experience as a whole, it also hints at a promising union of sociology, technology, science, math and art itself that heightens the perception of our kind.
Seed, a center for the culmination of
visionary exploration.
A gallery devoted to unveiling the
beauty of our existence.
The Visionary Arts Collective, a
collaboration of both established and
up-and-coming artists, will assist SEED
to promote and pursue artistic
inspiration.
While also maintaining a resource
center for contributing artists, SEED will
offer exhibition and studio space for
artists to utilize in the evolution of a
creative community.
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Throughout all stages of human existence, shifts of collective consciousness have manifested themselves in works of art. Expressions of these changes pinpoint the map of history. Although this exhibition is defined by the recent cultural, economic, and political downturn of the human experience as a whole, it also hints at a promising union of sociology, technology, science, math and art itself that heightens the perception of our kind.
Seed, a center for the culmination of
visionary exploration.
A gallery devoted to unveiling the
beauty of our existence.
The Visionary Arts Collective, a
collaboration of both established and
up-and-coming artists, will assist SEED
to promote and pursue artistic
inspiration.
While also maintaining a resource
center for contributing artists, SEED will
offer exhibition and studio space for
artists to utilize in the evolution of a
creative community.
Date : | jeudi 5 février 2009 |
Heure : | 18:00 - 21:00 |
Lieu : | SEED Gallery |
Adresse : | 239 Washington Street |
Ville : | Newark, NJ |
Téléphone : | 9176074440 |
Adresse électronique : |
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Newark
"LET ME IN" DE DAMIEN BLOTTIÈRE- PARIS
L’intitulé de la première exposition solo de Damien Blottière se traduit comme un billet d’entrée aux premières loges de l’imaginaire de l’artiste.
Construite à partir de boîtes en carton, plus précisément de cubes ayant chacun une arête de 35 cm assemblés les uns aux autres, Let Me In est une installation monumentale qui met en scène un mécanisme de l’imagination et son processus créatif. Le puzzle d’une véritable machine. Les boîtes ainsi assemblées deviennent des modules similaires à un jeu de Tetris, disposées de manière à former un cube géant à l’intérieur duquel le visiteur est invité au voyage à travers une composition cubique qui pourrait se répéter à l’infini.
Les faces sont peintes en noir et en blanc; un jeu de contrastes qui crée un effet damier et dérape par endroits. Un décalage volontaire des deux couleurs qui s’affrontent et se répondent, s’entrechoquent constamment, à rebours de tout manichéisme cotonneux.
Les cubes sont une composante majeure du travail de Damien Blottière. Leurs six faces lui offrent une multitude de possibilités avec lesquelles il peut jouer aux jeux de construction. Assemblés, ils synthétisent une réalité ou proposent un monde virtuel redéfinissant l’espace, les volumes ou encore les images.
Pénétrer son oeuvre est comme passer de l’autre côté du miroir et rentrer au coeur du dispositif. On découvre au centre névralgique de l’installation, un casque construit de cubes en papier noir et blanc qui sort d’une pyramide de boîtes et semble s’élever agissant alors comme un capteur et un récepteur d’émotions, principaux moteurs de l’imagination. Un mécanisme rotatif dessine les fluides qui gravitent autour de l’esprit une fois le processus créatif enclenché.
Des ondes sonores s’échappent de deux des façades de l’installation et attirent l’attention. Une musique expérimentale reproduit des bruits tirés du quotidien de l’artiste et de ses outils : scotchage, agrafage, découpage, empilage, impression, de l’eau qui coule, le brouhaha d’une foule... Tous ces sons extérieurs qui pourraient ressembler à une cacophonie méthodique sont digérés par cette machine créatrice et se transforment en une harmonieuse mélodie.
Dans l’autre pièce de la galerie, une des faces du cube est arrachée de l’ensemble par deux mains géantes en carton brut. Un écran placé au centre montre une vidéo montée en image par image: une succession de formes, de graphismes, des volumes se dessinent, oscillent et se meuvent dans le processus et esquissent ce qui pourrait devenir un rêve en laissant planer le mystère et la magie du mécanisme.
Le lien avec l’enfance est évident et il ne s’en cache pas : « Tout ce que je fais aujourd’hui est une extension de ce que je faisais étant petit sauf que l’échelle est différente. Fils unique, je me retrouvais souvent seul et il fallait que je trouve le moyen de m’occuper. Je profitais alors de ces moments pour démonter ce que j’avais sous la main et reconstruire toutes sortes de choses, comme des bombes faites à partir de radio réveil et téléphone ou tout autre élément du quotidien que j’enterrais ensuite dans le jardin. Heureusement elles n’explosaient jamais ! ».
Au final, Let Me In crée des pistes permettant d’interpréter le façonnage d’un rêve durant lequel Damien Blottière s’est retrouvé dans une boîte entourée d’une foultitude de mécanismes.
L’ artiste donne ainsi un sens à son subconscient en retranscrivant quelque chose qui va être vu mais qui n’existe pas et qui vient de nulle part. Il recrée un monde qu’il aimerait voir exister, pour le rendre visible, et nous offre ainsi une passerelle d’accès aux limbes de son esprit.
Alexis Le Tan.
The title of Damien Blottière's first solo exhibition reads like a ticket to ringside seats on the artist's imagination. Constructed from cardboard boxes, or more precisely, cubes measuring 35 cm along the edge and stacked on top of each other, Let Me In is a monumental installation that presents a mechanism invented by the imagination and its creative process. The boxes thus assembled become modules similar to a Tetris game, arranged in such a way as to form a giant cube, inside of which the visitor is invited on a voyage through a three-dimensional composition that could go on forever.
The sides are painted in black and white: a play of contrasts that creates a checkerboard effect and goes awry in certain places; an intended discrepancy of two colors that face each other and answer back, constantly clashing, contrary to any cottony Manichaeism.
Cubes are a major component of Damien Blottière's work. Their six sides present him with a multitude of possibilities for playing construction games. Gathered together, they synthesize a reality or propose a virtual world, redefining space, volumes and even images.
Penetrating his work is like passing through to the other side of a mirror and entering the heart of the system. At the nerve center of the installation, one discovers a helmet made out of black and white paper cubes, emerging from a pyramid of boxes and seeming to raise itself up, acting like a sensor and receptor of emotions, the principal motors of the imagination. A rotating mechanism draws the psychic powers that gravitate around the mind once the creative process is underway.
Sound waves escape from two sides of the installation, attracting attention. Experimental music reproduces sounds drawn from the artist's everyday life and tools: taping, stapling, cutting, stacking, printing, running water, the racket of a crowd… All these outside sounds that could resemble a methodical cacophony are organized by this composing machine and transformed into a harmonious melody.
In the other room of the gallery, one of the faces of a cube is uprooted from the group by two giant hands made from untreated cardboard. A screen placed in the center shows a video filmed image by image: a succession of forms, graphics and volumes appears, oscillating and moving in the process, and sketching what could become a dream by sustaining the mystery and the magic of the mechanism.
The link to childhood is obvious and unconcealed. As the artist writes, "Everything I make today is an extension of what I was making when I was little, except for the scale. As an only child, I often found myself alone and needed to find ways to keep myself busy. I took advantage of those moments to take apart whatever was in front of me and reconstruct all sorts of things, like bombs made from alarm clocks and telephones or any other everyday object, that I would then bury in the garden. Luckily, they never exploded!"
In the end, Let Me In creates paths allowing one to interpret the shaping of a dream where Damien Blottière finds himself in a box surrounded by heaps of mechanisms. The artist thus gives meaning to his subconscious by re-inscribing something that will soon appear but doesn't yet exist and comes out of nowhere. He recreates a world that he would love to see exist, making it visible and thus giving us access to the limbos of his mind.
Alexis Le Tan
///////////////
Exposition du 6 Février au 21 Mars 2009.
Ouverte du Mardi au Samedi de 10h30 à 19h30 et sur rdv.
Invitation Facebook
Construite à partir de boîtes en carton, plus précisément de cubes ayant chacun une arête de 35 cm assemblés les uns aux autres, Let Me In est une installation monumentale qui met en scène un mécanisme de l’imagination et son processus créatif. Le puzzle d’une véritable machine. Les boîtes ainsi assemblées deviennent des modules similaires à un jeu de Tetris, disposées de manière à former un cube géant à l’intérieur duquel le visiteur est invité au voyage à travers une composition cubique qui pourrait se répéter à l’infini.
Les faces sont peintes en noir et en blanc; un jeu de contrastes qui crée un effet damier et dérape par endroits. Un décalage volontaire des deux couleurs qui s’affrontent et se répondent, s’entrechoquent constamment, à rebours de tout manichéisme cotonneux.
Les cubes sont une composante majeure du travail de Damien Blottière. Leurs six faces lui offrent une multitude de possibilités avec lesquelles il peut jouer aux jeux de construction. Assemblés, ils synthétisent une réalité ou proposent un monde virtuel redéfinissant l’espace, les volumes ou encore les images.
Pénétrer son oeuvre est comme passer de l’autre côté du miroir et rentrer au coeur du dispositif. On découvre au centre névralgique de l’installation, un casque construit de cubes en papier noir et blanc qui sort d’une pyramide de boîtes et semble s’élever agissant alors comme un capteur et un récepteur d’émotions, principaux moteurs de l’imagination. Un mécanisme rotatif dessine les fluides qui gravitent autour de l’esprit une fois le processus créatif enclenché.
Des ondes sonores s’échappent de deux des façades de l’installation et attirent l’attention. Une musique expérimentale reproduit des bruits tirés du quotidien de l’artiste et de ses outils : scotchage, agrafage, découpage, empilage, impression, de l’eau qui coule, le brouhaha d’une foule... Tous ces sons extérieurs qui pourraient ressembler à une cacophonie méthodique sont digérés par cette machine créatrice et se transforment en une harmonieuse mélodie.
Dans l’autre pièce de la galerie, une des faces du cube est arrachée de l’ensemble par deux mains géantes en carton brut. Un écran placé au centre montre une vidéo montée en image par image: une succession de formes, de graphismes, des volumes se dessinent, oscillent et se meuvent dans le processus et esquissent ce qui pourrait devenir un rêve en laissant planer le mystère et la magie du mécanisme.
Le lien avec l’enfance est évident et il ne s’en cache pas : « Tout ce que je fais aujourd’hui est une extension de ce que je faisais étant petit sauf que l’échelle est différente. Fils unique, je me retrouvais souvent seul et il fallait que je trouve le moyen de m’occuper. Je profitais alors de ces moments pour démonter ce que j’avais sous la main et reconstruire toutes sortes de choses, comme des bombes faites à partir de radio réveil et téléphone ou tout autre élément du quotidien que j’enterrais ensuite dans le jardin. Heureusement elles n’explosaient jamais ! ».
Au final, Let Me In crée des pistes permettant d’interpréter le façonnage d’un rêve durant lequel Damien Blottière s’est retrouvé dans une boîte entourée d’une foultitude de mécanismes.
L’ artiste donne ainsi un sens à son subconscient en retranscrivant quelque chose qui va être vu mais qui n’existe pas et qui vient de nulle part. Il recrée un monde qu’il aimerait voir exister, pour le rendre visible, et nous offre ainsi une passerelle d’accès aux limbes de son esprit.
Alexis Le Tan.
The title of Damien Blottière's first solo exhibition reads like a ticket to ringside seats on the artist's imagination. Constructed from cardboard boxes, or more precisely, cubes measuring 35 cm along the edge and stacked on top of each other, Let Me In is a monumental installation that presents a mechanism invented by the imagination and its creative process. The boxes thus assembled become modules similar to a Tetris game, arranged in such a way as to form a giant cube, inside of which the visitor is invited on a voyage through a three-dimensional composition that could go on forever.
The sides are painted in black and white: a play of contrasts that creates a checkerboard effect and goes awry in certain places; an intended discrepancy of two colors that face each other and answer back, constantly clashing, contrary to any cottony Manichaeism.
Cubes are a major component of Damien Blottière's work. Their six sides present him with a multitude of possibilities for playing construction games. Gathered together, they synthesize a reality or propose a virtual world, redefining space, volumes and even images.
Penetrating his work is like passing through to the other side of a mirror and entering the heart of the system. At the nerve center of the installation, one discovers a helmet made out of black and white paper cubes, emerging from a pyramid of boxes and seeming to raise itself up, acting like a sensor and receptor of emotions, the principal motors of the imagination. A rotating mechanism draws the psychic powers that gravitate around the mind once the creative process is underway.
Sound waves escape from two sides of the installation, attracting attention. Experimental music reproduces sounds drawn from the artist's everyday life and tools: taping, stapling, cutting, stacking, printing, running water, the racket of a crowd… All these outside sounds that could resemble a methodical cacophony are organized by this composing machine and transformed into a harmonious melody.
In the other room of the gallery, one of the faces of a cube is uprooted from the group by two giant hands made from untreated cardboard. A screen placed in the center shows a video filmed image by image: a succession of forms, graphics and volumes appears, oscillating and moving in the process, and sketching what could become a dream by sustaining the mystery and the magic of the mechanism.
The link to childhood is obvious and unconcealed. As the artist writes, "Everything I make today is an extension of what I was making when I was little, except for the scale. As an only child, I often found myself alone and needed to find ways to keep myself busy. I took advantage of those moments to take apart whatever was in front of me and reconstruct all sorts of things, like bombs made from alarm clocks and telephones or any other everyday object, that I would then bury in the garden. Luckily, they never exploded!"
In the end, Let Me In creates paths allowing one to interpret the shaping of a dream where Damien Blottière finds himself in a box surrounded by heaps of mechanisms. The artist thus gives meaning to his subconscious by re-inscribing something that will soon appear but doesn't yet exist and comes out of nowhere. He recreates a world that he would love to see exist, making it visible and thus giving us access to the limbos of his mind.
Alexis Le Tan
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Exposition du 6 Février au 21 Mars 2009.
Ouverte du Mardi au Samedi de 10h30 à 19h30 et sur rdv.
Lieu : | Galerie Lacen |
Adresse : | 20, rue de Picardie |
Ville : | Paris, France |
Téléphone : | 33142773444 |
Adresse électronique : |
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SHIFT DE NUIT - MONTRÉAL
Shift de nuit
Les Shift de nuit, pour vibrer… un peu plus tard
Les soirées s’allongent et le public du Festival Voix d’Amériques (FVA) ne veut pas rentrer à la maison… du moins pas tout de suite. Comme à son habitude, le FVA propose aux oiseaux de nuit des fins de soirées délirantes et excessives, animées par l’imposant Michel Vézina, éditeur, chroniqueur, écrivain, ancien artiste de cirque et figure bien connue du milieu culturel.
Il sera soutenu par deux musiciens qui sont devenus ce qu’on pourrait appeler «des piliers de Shift de Nuit»: le surdoué contrebassiste Philippe Brault et le violoniste virtuose Guido del Fabbro, fidèles complices de Pierre Lapointe… entre autres choses. Les deux s’adonnent également au bidouillage électronique. Sauf le jeudi 12 février où le house band sera l’étrange trio K.A.N.T.N.A.G.A.N.O. (Jonathan Parant, Alexandre St-Onge et Alexander Wilson).
Ce house band perspicace et impassible (ils en ont vu de toutes les couleurs), qui sévit au FVA depuis 2006, accompagnera les poètes invités et les courageux qui viendront s’emparer du micro ouvert. Des surprises, de l’action et de l’impertinence pour ces soirées en deux temps, car nous parlons tout de même ici du «shift de nuit» et nous ne sommes pas du tout fatigués!
Nouvelle surprenante en ces temps de morosité économique: le symbolique prix d’entrée de 3$ a été aboli et les Shifts de nuit sont maintenant gratuits!
De 23 h à 23 h 30: Poètes, vos papiers!
Pour démarrer chaque Shift de nuit, deux poètes, écrivains, ou performeurs viennent livrer leurs textes avec la complicité des musiciens. Plusieurs nouvelles voix cette année: Véronique Cyr, Robert Berrouet-Oriol, Shin’Uet, Élizabeth Robert, Moe Clark, Kary Ann Deer, Marie Davidson, Marie-Paule Grimaldi; et des voix qu’on connaît déjà comme Serge Lamothe, Réjean Thomas, Yvon Jean et Suzanne Clément (oui oui, la comédienne qu’on aime tant et qui a accepté ce beau risque de venir lire ses propres textes).
À 23 h 30: Place aux célèbres Micros ouverts du FVA
Puis, le micro est offert au public. Tous les auteurs connus, inconnus ou qui veulent se faire connaître, sont invités à présenter leurs textes, poèmes et chansons en français, en anglais ou toute autre langue. Mais attention: il faut interpréter ses propres textes, pas question de se réfugier derrière les mots de Gaston Miron ou de Patrice Desbiens (vous seriez vite repérés de toute façon). Chaque participant dispose de trois minutes pour s’exécuter, avec la complicité (et le support moral!) des musiciens. Nous avons bien dit trois minutes et Michel Vézina veille au grain. Euh… on vous avait dit que c’est un ancien cracheur de feu?
Les inscriptions se font le jour même dès 22 h à la Casa del Popolo (4873 Saint-Laurent) auprès de l’animateur. Arrivez tôt car les places sont limitées.
Vendredi 6 février 2009
23h00
Shift de nuit
* Animé par Michel Vézina
Poètes invités: Suzanne Clément et Marie Davidson
Musiciens: Philippe Brault et Guido Del Fabbro
Casa del Popolo
Entrée libre
Micro ouvert bilingue
Samedi 7 février 2009
23h00
Shift de nuit
* Animé par Michel Vézina
Poètes invités: Robert Berrouët-Oriol et Shin’ Uet
Musiciens: Philippe Brault et Guido Del Fabbro
Casa del Popolo
Entrée libre
Micro ouvert bilingue
Dimanche 8 février 2009
23h00
Shift de nuit
* Animé par Michel Vézina
Poètes invités: Élizabeth Robert et Réjean Thomas.
Musiciens: Philippe Brault et Guido Del Fabbro
Casa del Popolo
Entrée libre
Micro ouvert bilingue
Lundi 9 février 2009
23h00
Shift de nuit
* Animé par Michel Vézina
Avec les poètes Stéphane D’Amour, Roger Des Roches, Corinne Chevarier et André Roy.
Musiciens Philippe Brault et Guido Del Fabbro
Casa del Popolo
Entrée libre
On célèbre les 40 ans des Herbes Rouges avec entre autres Roger Des Roches qui a remporté le sympathique Prix Chasse-Spleen en novembre dernier pour son recueil dixhuitjuilletdeuxmillequatre. Ce nouveau prix, créé spontanément par la communauté des poètes, couronne une œuvre poétique non primée et pourtant considérée essentielle.
Micro ouvert bilingue
Mardi 10 février 2009
23h00
Shift de nuit
* Animé par Michel Vézina
Poètes invités: Serge Lamothe et Véronique Cyr.
Musiciens: Philippe Brault et Guido Del Fabbro
Casa del Popolo
Entrée libre
Micro ouvert bilingue
Mercredi 11 février 2009
23h00
Shift de nuit
* Animé par Michel Vézina
Poètes invités: Marie-Paule Grimaldi et Kary Ann Deer.
Musiciens: Philippe Brault et Guido Del Fabbro
Casa del Popolo
Entrée libre
Micro ouvert bilingue
Jeudi 12 février 2009
23h00
Shift de nuit
* Animé par Michel Vézina
Poètes invités: Moe Clark, Yvon Jean et Evens Supreme.
Musiciens: K.A.N.T.N.A.G.A.N.O., Jonathan Parant, Alexandre St-Onge et Alexander Wilson
Casa del Popolo
Entrée libre
Micro ouvert bilingue
Invitation Facebook
Les Shift de nuit, pour vibrer… un peu plus tard
Les soirées s’allongent et le public du Festival Voix d’Amériques (FVA) ne veut pas rentrer à la maison… du moins pas tout de suite. Comme à son habitude, le FVA propose aux oiseaux de nuit des fins de soirées délirantes et excessives, animées par l’imposant Michel Vézina, éditeur, chroniqueur, écrivain, ancien artiste de cirque et figure bien connue du milieu culturel.
Il sera soutenu par deux musiciens qui sont devenus ce qu’on pourrait appeler «des piliers de Shift de Nuit»: le surdoué contrebassiste Philippe Brault et le violoniste virtuose Guido del Fabbro, fidèles complices de Pierre Lapointe… entre autres choses. Les deux s’adonnent également au bidouillage électronique. Sauf le jeudi 12 février où le house band sera l’étrange trio K.A.N.T.N.A.G.A.N.O. (Jonathan Parant, Alexandre St-Onge et Alexander Wilson).
Ce house band perspicace et impassible (ils en ont vu de toutes les couleurs), qui sévit au FVA depuis 2006, accompagnera les poètes invités et les courageux qui viendront s’emparer du micro ouvert. Des surprises, de l’action et de l’impertinence pour ces soirées en deux temps, car nous parlons tout de même ici du «shift de nuit» et nous ne sommes pas du tout fatigués!
Nouvelle surprenante en ces temps de morosité économique: le symbolique prix d’entrée de 3$ a été aboli et les Shifts de nuit sont maintenant gratuits!
De 23 h à 23 h 30: Poètes, vos papiers!
Pour démarrer chaque Shift de nuit, deux poètes, écrivains, ou performeurs viennent livrer leurs textes avec la complicité des musiciens. Plusieurs nouvelles voix cette année: Véronique Cyr, Robert Berrouet-Oriol, Shin’Uet, Élizabeth Robert, Moe Clark, Kary Ann Deer, Marie Davidson, Marie-Paule Grimaldi; et des voix qu’on connaît déjà comme Serge Lamothe, Réjean Thomas, Yvon Jean et Suzanne Clément (oui oui, la comédienne qu’on aime tant et qui a accepté ce beau risque de venir lire ses propres textes).
À 23 h 30: Place aux célèbres Micros ouverts du FVA
Puis, le micro est offert au public. Tous les auteurs connus, inconnus ou qui veulent se faire connaître, sont invités à présenter leurs textes, poèmes et chansons en français, en anglais ou toute autre langue. Mais attention: il faut interpréter ses propres textes, pas question de se réfugier derrière les mots de Gaston Miron ou de Patrice Desbiens (vous seriez vite repérés de toute façon). Chaque participant dispose de trois minutes pour s’exécuter, avec la complicité (et le support moral!) des musiciens. Nous avons bien dit trois minutes et Michel Vézina veille au grain. Euh… on vous avait dit que c’est un ancien cracheur de feu?
Les inscriptions se font le jour même dès 22 h à la Casa del Popolo (4873 Saint-Laurent) auprès de l’animateur. Arrivez tôt car les places sont limitées.
Vendredi 6 février 2009
23h00
Shift de nuit
* Animé par Michel Vézina
Poètes invités: Suzanne Clément et Marie Davidson
Musiciens: Philippe Brault et Guido Del Fabbro
Casa del Popolo
Adresse : | 4873 Saint-Laurent |
Ville : | Montreal, QC |
Micro ouvert bilingue
Samedi 7 février 2009
23h00
Shift de nuit
* Animé par Michel Vézina
Poètes invités: Robert Berrouët-Oriol et Shin’ Uet
Musiciens: Philippe Brault et Guido Del Fabbro
Casa del Popolo
Entrée libre
Micro ouvert bilingue
Dimanche 8 février 2009
23h00
Shift de nuit
* Animé par Michel Vézina
Poètes invités: Élizabeth Robert et Réjean Thomas.
Musiciens: Philippe Brault et Guido Del Fabbro
Casa del Popolo
Entrée libre
Micro ouvert bilingue
Lundi 9 février 2009
23h00
Shift de nuit
* Animé par Michel Vézina
Avec les poètes Stéphane D’Amour, Roger Des Roches, Corinne Chevarier et André Roy.
Musiciens Philippe Brault et Guido Del Fabbro
Casa del Popolo
Entrée libre
On célèbre les 40 ans des Herbes Rouges avec entre autres Roger Des Roches qui a remporté le sympathique Prix Chasse-Spleen en novembre dernier pour son recueil dixhuitjuilletdeuxmillequatre. Ce nouveau prix, créé spontanément par la communauté des poètes, couronne une œuvre poétique non primée et pourtant considérée essentielle.
Micro ouvert bilingue
Mardi 10 février 2009
23h00
Shift de nuit
* Animé par Michel Vézina
Poètes invités: Serge Lamothe et Véronique Cyr.
Musiciens: Philippe Brault et Guido Del Fabbro
Casa del Popolo
Entrée libre
Micro ouvert bilingue
Mercredi 11 février 2009
23h00
Shift de nuit
* Animé par Michel Vézina
Poètes invités: Marie-Paule Grimaldi et Kary Ann Deer.
Musiciens: Philippe Brault et Guido Del Fabbro
Casa del Popolo
Entrée libre
Micro ouvert bilingue
Jeudi 12 février 2009
23h00
Shift de nuit
* Animé par Michel Vézina
Poètes invités: Moe Clark, Yvon Jean et Evens Supreme.
Musiciens: K.A.N.T.N.A.G.A.N.O., Jonathan Parant, Alexandre St-Onge et Alexander Wilson
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