-Invitation au finissage de l’exposition « De Paris à New-York» le samedi 06/06/2009 de 12 h 30 à 18 h 30.
Guy M, artiste peintre à la palette figurative.
Dominique Pery est d’avantage abstrait.
André Englebert travaille la terre.
Peter Mc Lane propose ses créations numériques.
Et
-Invitation au vernissage de «Du Poème à l’Emotion et du Silence à la Construction » le mercredi 10/06/2009 de 18 h 30 à 21 h 30.
Exposition du 10/06 au 27/06/2009
Elodie Haslé
Née en France (Grenoble) en 1971, E. Haslé est passionnée de dessin depuis l’enfance, et attirée par les peintres surréalistes tels que Magritte et Dali. Elle concrétise son projet d’artiste-peintre depuis 2006, exposant dans divers lieux publics et Galeries à Lyon (où elle a vécu pendant quatorze ans), et dans plusieurs Galeries à Bruxelles, où elle s’est installée l’année dernière. Dans le cadre de son exposition à l’Espace Art Gallery, Elodie Haslé présente des poèmes et calligrammes encadrés. Des textes chantants, des sentiments, de la tendresse et de la liesse. Les liens du couple et les liens enfants-parents sont célébrés avec justesse et délicatesse. A côté de cela, Elodie Haslé travaille à l’édition d’un recueil de poèmes, qu’elle écrit et illustre.
CHAVI« Comment imprimer des visions fugaces, des émotions profondes ? Comment partager un rêve, suggérer une vision du monde ? La peinture est le moyen d’expression que j’ai choisi : permettant de lever le voile sur des valeurs intimes, tout en préservant le mystère… Passer de la toile blanche, pure, impersonnelle, mais amicale, sensuelle, et l’habiller de matières ; découvrir-en autodidacte- les couleurs, reflets de nos états d’âme du moment et les faire vibrer à l’infini ; apprivoiser les formes linéaires -ou rondes-, et voir apparaître un figuratif –ou un abstrait-, qui interpelle « les yeux qui regardent » : c’est magique… Mes repères : Klimt, Klee, Miró, Gaudi, et les peintres naïfs… »
Di Lorenzo« C’est l’harmonie de l’espace qui fournit le silence » Poliakoff
«Nous sommes de bruit, d’informations, de vérités et de contre-vérités qui passent et s’échappent, se transforment et se contredisent aussi vite que la lumière... Retrouver le silence, le calme, la sérénité, un matin d’été dans une abbaye du sud de la France, moment de grâce, silence, lumière, équilibre parfait, entre ciel bleu et champs de lavande. Dire le silence en peinture : j’ai voulu relever ce défi et jour après jour des mois durant, j’ai creusé ce sillon, une vraie ascèse pour moi habituée à travailler le mouvement et la violence, et au final un vrai plaisir, revenue à toucher par une autre approche ce point d’équilibre, là où les forces opposées se rencontrent, et qui est finalement le fil rouge de ma peinture depuis toujours. Au fil du temps, ma pratique s’est enrichie de mes rencontres, je me suis formée auprès d’autres maîtres, en calligraphie arabe, en peinture chinoise et au cours des ateliers que j’anime maintenant depuis quelques années, j’essaie à mon tour de donner, comme j’ai reçu ».
Ignacio Guzman
Ignacio Guzmán artiste péruvien né en 1961 a suivi des cours aux Beaux Arts de Lima (Pérou) ainsi qu’au conservatoire de Lima et Madrid. Il a travaillé à plusieurs projets en ce qui concerne la céramique architecturale avec l’architecte José Cardenas et a participé aussi à un projet de formation dans un atelier de production céramique dans les Andes Péruviens à Cajamarca. Il a été professeur à l’Université Catholique de Lima pendant plusieurs années à la faculté des Beaux Arts. Ignacio Guzmán a exposé ses œuvres dans plusieurs pays, dont le Pérou le Portugal et l’Espagne. Il a également obtenu certains prix notamment celui de « Salon de Invierno » de Barcelone et il fut finaliste au concours de la Communauté de Madrid ainsi qu’au Concours « Biennale de Aveiro » (Portugal). Actuellement il habite en Espagne. Les sculptures d’Ignacio Guzmán transitent librement entre l’abstrait et la représentation, faisant subir au spectateur une certaine incommodité, celle qui est ressentie lorsque l’on se trouve face à un objet qu’on n’arrive pas à définir. L’utilisation de formes géométriques basiques nous renvoie au minimalisme, un courant qui nous a toujours plongés dans le naufrage interprétatif, sans plus d’adjectifs que ceux qui sont utiles à décrire l’existence formelle et nue. C’est dans ce sens que nous pouvons dire que les œuvres de Guzmán - dans le cas où elles voudraient nous dire quelque chose - parlent tout d’abord d’elles mêmes, comme l’énoncé qui se suffit à lui même, comme un cube ou une sphère qui ont renoncé au monde et déambulent librement. Puis, il y a aussi, celles, dont leur sens et valeur dépendent du monde. Guzmán fait référence à des maquettes quand il parle de son travail. Il y a, il est vrai, un parallélisme avec un bâtiment architectural dans la plupart de ses œuvres, comme si elles étaient un projet pour être reproduites à grand échelle. La ressemblance de certaines œuvres à des bâtiments anciens dans l’histoire donne au travail de l’auteur une certaine teinte qui serait apparemment hors du temps. Les œuvres de Guzmán parlent au spectateur avec leur propre langage, encadré par celui de la forme, de la lumière et de l’ombre.
Robert Paul sera présent au Finissage le samedi 6 juin (de 15 heures à 18 H 30) et au Vernissage le mercredi 10 juin de 18 H 30 à 21 H 30.
Heure de début : | 6 juin 2009 à 12:30 |
Heure de fin : | 27 juin 2009 à 21:30 |
Lieu : | |
Adresse : | 35 rue Lebsbroussart, 1050 Ixelles |
Ville : | Bruxelles, Belgium |
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