Exposición de Clemencia EcheverriLa muestra está compuesta por 5 video instalaciones e instalaciones sonoras en los que la artista se plantea el problema de cómo el lenguaje transforma las experiencias de los individuos, especialmente las menos gratas, y se convierte en el camino para comprenderlas y proyectar las sensaciones que producen hacia el exterior.
“Las obras suscitan un gran interés porque en ellas, la performancia del habla se constituye en el método para vivenciar ciertos procesos”, manifiesta María Belén Sáez de Ibarra, directora de la DNDC y curadora de esta exhibición que se realizará entre el 10 de marzo y el 8 de mayo.
Para Sáez de Ibarra, lo primordial en la muestra es la posición del lenguaje en determinados procesos de la vida humana y el sonido sofisticado y profesional con que la artista lograr involucrar al espectador en lo que este ve, de manera que se sienta como si estuviera vivenciando los acontecimientos.
A través de la voz y el sonido, en consonancia con la imagen, Echeverri también busca que el espectador “presienta la impotencia que deriva de la guerra, la dificultad de hacer presente el pasado y las múltiples contradicciones que genera”.
Video y audio como plataforma de expresión.
Precisamente, es a través de la voz y el sonido que la artista Clemencia Echeverri ha tratado, desde hace varios años, de darle forma a lo “no dicho”. “He querido que, tanto la voz como el sonido actualicen y manifiesten algo de nuestra historia y cultura, donde el gesto ha estado vinculado a situaciones de ausencia, vacío y déficit”, manifiesta.
Sin embargo, la decisión de acudir a estas plataformas menos convencionales que la pintura o el dibujo no es fortuita. De hecho, Echeverri asegura que el artista, antes de decidir la técnica para trabajar, se fundamenta en su problema o inquietud a resolver y esto conduce a elegir el medio de expresión apropiado.
“A lo largo del proceso, he ingresado cada vez nuevas variables, como los elementos interactivos, a fin de construir con el espectador una experiencia del orden afectivo y reflexivo y un lugar donde las coincidencias y el encuentro circulen por la memoria de cada quien”, enfatiza.
Un medio con bondades expresivas.
La vida es una secuencia de eventos o fracciones que no necesariamente suceden de manera lineal. Por el contrario, de acuerdo con Clemencia Echeverri, la rutina diaria está llena del vértigo que produce el desconocimiento de lo nuevo y la necesidad de comprenderlo.
Por esto, ha elegido plataformas de expresión como las video instalaciones e instalaciones sonoras porque le permiten expresar esa cambiante realidad. “Reconozco el poder que cobran los fragmentos de la experiencia al ser registrada como imagen directa. Su poder interno ahí sin ser visto, el sonido que también está ahí, pero que no oímos y que busca salida, son para mí estrategias de creación”.
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L'échantillon se compose de 5 installations vidéo et des installations sonores dans lesquels l'artiste est le problème de la langue à transformer l'expérience des individus, surtout les moins agréables, et devient le moyen de comprendre et de concevoir les sensations produites vers l'extérieur.
"Les travaux suscitent un grand intérêt pour eux, car les performances de la parole devient le moyen de vie des processus», explique María Belén Sáez de Ibarra, directeur de la DNDC et commissaire de cette exposition qui aura lieu du 10 Mars et 8 Mai.
Pour Saez de Ibarra, le premier échantillon est la position de la langue dans certains processus de la vie humaine et du son avec l'artiste professionnel et sophistiqué pour réaliser qui impliquent le spectateur dans ce qu'il voit, si vous vous sentez comme si connaissent les événements.
Par la voix et les sons, à l'image, Echeverri souhaite également que le spectateur "pense qu'il résulte de l'impuissance que la guerre, la difficulté de rendre présent le passé et les nombreuses contradictions qu'elle génère."
Vidéo et audio comme plate-forme d'expression.
C'est par le biais de la voix et le son Clemencia Echeverri artiste a tenté pendant plusieurs années, faisant place à "non-dits." «J'ai aimé à la fois la voix comme le son de mise à jour et d'exprimer quelque chose de notre histoire et de culture, où le geste a été lié à des situations d'absence, le vide et les déficits», at-il dit.
Toutefois, la décision de rechercher des plates-formes moins classiques que la peinture ou du dessin n'est pas fortuit. En fait, Echeverri dit que l'artiste, avant de décider de la technique de travail, est basée sur votre préoccupation ou un problème à résoudre et cela conduit à choisir les moyens d'expression.
"Tout au long du processus, je suis entré à chaque fois de nouvelles variables, telles que des éléments interactifs à construire avec le public une expérience émotionnelle et réflexive de l'ordre et un lieu où les similitudes et de la réunion proposé par la mémoire de chaque personne» stress.
Un moyen d'expression de la bonté.
La vie est une suite d'événements ou de parties qui ne se produisent pas nécessairement de manière linéaire. En revanche, selon Clemencia Echeverri, la routine quotidienne est pleine de vertige produit par l'ignorance de la nouvelle et la nécessité de le comprendre.
Pour cette raison, a choisi la plate-forme d'expression comme les installations vidéo et des installations sonores qui vous permettent d'exprimer cette réalité changeante. «Je reconnais que le pouvoir chargé les fragments de l'expérience d'être enregistré comme une image. Sa puissance, sans être vu, le son est là, mais pas entendu et vous recherchez des stratégies de sortie sont créés pour moi.
Heure de début : | mardi 10 mars 2009 à 18:00 |
Heure de fin : | vendredi 8 mai 2009 à 18:00 |
Lieu : | Museo de Arte - Universidad Nacional de Colombia |
Adresse : | Carrera 30 # 45 - 03 Edificio 317 |
Ville : | Bogotá, Colombia |
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Téléphone : | 316500011992 |
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